Les associations au cœur de l’innovation en santé

Un numérique en santé souverain, citoyen, éthique et humaniste

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C’est l’une des conséquences de la crise du coronavirus : les Français sont prêts à se tourner vers le numérique pour le suivi de leur santé.
Résultat, selon une récente étude, ils sont 49 % à déclarer avoir utilisé un nouvel outil numérique de santé depuis le début de la pandémie.

Il n’en fallait pas davantage au ministère des Solidarités et de la Santé, aux membres de la Délégation ministérielle au numérique en santé (DNS) et de l’Agence du numérique en santé (ANS) pour mettre la parole citoyenne au cœur des dernières Assises citoyennes du numérique en santé.
Une fois n’est pas coutume, les Français étaient donc invités à exprimer leurs attentes et leurs perceptions en matière de numérique en santé, à commencer par donner leur avis sur le futur espace numérique de santé. Un espace numérique qui doit permettre à chaque usager de maîtriser ses données personnelles de santé, condition sine qua none pour devenir acteur de sa santé et participer pleinement à son parcours de soins.

L’Etat n’est pas en reste dans cette évolution vers toujours plus de numérique en santé puisque le législateur, en tant que garant neutre de l’intérêt général, se doit d’encadrer la sécurité et l’éthique du numérique en santé. À l’Etat également de mettre en place les outils techniques pour atteindre les objectifs fixés.
Parmi ces outils : une plateforme ouverte et gratuite permettant au citoyen d’accéder à ses données de santé ainsi qu’à des services numériques de santé tiers dont il garantit la conformité au cadre réglementaire.

Présenté et voulu comme un véritable outil d’émancipation, le numérique en santé se doit pour autant de respecter un certain nombre de principes pour être porteur de sens.

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